Le diable au corps

Paris, In Fine éditions d’Art, 2019
Préfaces Christian Estrosi, Jean-Jacques Aillagon ; textes Hélène Guenin et Pauline Mari, Arnauld Pierre, Bertrand Tillier, Thomas Schlesser, 144 p., ill. 28,5 cm. ISBN 978902302055
MAMAC : 17 mai-29 septembre 2019


Au début des années 1960, l’art cinétique s’impose partout en Europe avec ses peintures à illusions d’optique, reliefs à lumière motorisés, et environnements à vertige.
Baptisé « Op Art » en 1964, cet art d’avant-garde, si populaire, rencontre un succès retentissant auprès du grand public.
Art du mouvement et de la lumière, le cinéma est, quant à lui, à la fois un prédécesseur, apte à sublimer ses jeux visuels, et un suiveur, qui cherche à le vampiriser par désir de modernité.
Le Diable au corps plonge ainsi le lecteur au sein d’une histoire passionnelle entre deux arts, ponctuée de persiflages et d’incompréhensions, de sublimations réciproques, d’enfantements pop ou baroques, de collaborations ou de plagiats.

28€